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(préparés par Dominique Baumont)
Aux confins de la Dombes et de la Bresse et à dix minutes à vélo du centre ville de Bourg en Bresse, le
château de la Garde se blottit dans un écrin de verdure.
Après avoir franchi le portail flanqué de deux bâtiments de brique rouge qui soulignent discrètement
l'entrée du domaine, il faut parcourir cinq cents mètres sur le chemin goudronné avant de découvrir « le
château ».
Au long de ce parcours, le visiteur est naturellement charmé par l'atmosphère romantique du lieu.
L'allée bordée d'arbres laisse place au vaste paysage doucement vallonné, ouvert sur les premiers reliefs du
Revermont. Nous nous trouvons ici dans un environnement géologique particulier, à l'extrémité du glacier
qui occupait les lieux à l'époque du quaternaire. Des terrains argileux analogues à ceux de la Bresse,
rejoignent des terrains creusés d'étangs, parcourus par des sources, où le glacier en fondant et en se retirant
a laissé des dépôts de galets morainiques.
L'ancienne allée menant au château était autrefois bordée de sapins. Un cyclone ayant ravagé en août 1927
une grande partie des arbres existants, les conifères ont été remplacés par une alternance de chênes des
marais et de hêtres rouges.
En chemin au loin sur la gauche en contre-bas, on aperçoit les vestiges d'un ancien lavoir. Au creux de la
prairie, dissimulé au milieu des arbres, un étang recueille toutes les eaux provenant des hauteurs.
Encore quelques pas, et sur la droite du chemin, une maçonnerie en pierre marque l'emplacement d'une
ancienne fontaine qui canalisait une source.
Après avoir remarqué sur la droite au fond du pré une croix de chemin typique du XIXe, nous parvenons à
une croisée de chemins.
A cet endroit, une sculpture contemporaine, bloc de pierre clair évoquant le diamant, attire le regard et nous
invite au repos et à la méditation. Jean-Michel Debilly, sculpteur à Villefranche sur Saône, a réalisé cette
œuvre.
Mais le « château » reste invisible. Il se cache juste derrière le gros buisson d'arbres sombres.
Passé ce bosquet, on découvre le bâtiment tout blanc, de style néoclassique, bien orienté à l'Est face au
Revermont, au fond de son théâtre de verdure.
Nous avons employé les termes de "château" et de "domaine". Quelques précisions s'imposent à ce sujet.
« Un domaine est l'ensemble des maisons, des dépendances et des terres agricoles qui entourent les jardins
et les terrains d'une très grande propriété, comme une maison de campagne ou un hôtel particulier ».
Les documents d'archives nous permettent à présent d'attester la présence d'un domaine à l'emplacement
actuel dès 1323.
Il s'agissait alors de terres et de bois, de dépendances agricoles, regroupés à proximité du château de
Bouvent, situé à cinq cents mètres environ de la demeure actuelle. Ce domaine de Bouvent appartenait au
seigneur Galois de La Baume, qui le donna ensuite en dot à l'une de ses filles en 1363.
En l'an 1400, les biens sont vendus à Claude de Bouvent, et le lieu est signalé comme « maison forte ».
Par les différents mariages et successions, le domaine demeure au sein de cette même famille de Bouvent
jusqu'au début du XVIe siècle.
Le domaine semble prendre définitivement le nom de La Garde, suite au mariage en 1523 de Rolette Guyot
de La Garde avec Antoine de Soria seigneur de Bouvent, portugais et médecin de Béatrice du Portugal,
duchesse de Savoie, lequel rachète la propriété en 1534.
Philibert de Soria, leur fils aîné est héritier du domaine. Mais celui-ci étant décédé sans être marié, les biens
sont transmis à sa sœur Françoise de Soria qui épouse en 1540 Pierre Bachet de Valuisant.
Cette prestigieuse famille Bachet sera par ses héritiers successifs, propriétaire du domaine jusqu'à la
Révolution et au-delà.
Ses membres sont issus de la noblesse de robe ou d'épée, à commencer par Pierre Bachet, cité
précédemment, lieutenant général au bailliage de Bresse, puis en 1635, on distingue Claude Gaspard
Bachet, un des quarante premiers membres de l'Académie Française.
En 1729, un document d'archives nous renseigne plus précisément sur la composition domaine.
Il s'agit d'un inventaire de bétail passé devant notaire, pour M. Antoine de Bachet, alors maître du domaine,
sorte d'état des lieux établi envers ses fermiers, deux couples de laboureurs chargés de l'entretien du bétail et
des terres agricoles.
La description précise du cheptel, du matériel à disposition, des bâtiments d'exploitation et d'habitation,
laisse apparaître une ferme bressane traditionnelle relativement importante, où tout se trouve en ordre pour
mener à bien l'exploitation du domaine. Aucun château ou maison de maître ne sont alors signalés à cet
emplacement. Cependant le château de Bouvent situé non loin de là existe toujours. Il ne sera détruit qu'en
1965.
Mais à la Révolution, les biens, régulièrement transmis jusqu'alors aux héritiers Bachet, sont réquisitionnés
comme biens nationaux. Après une interruption due aux troubles de ce temps, bien qu'ayant été auparavant
légués par testament en 1777, la veuve de Claude Marie de Bachet, Marie Josèphe de Garron de la Bévière,
voit les deux tiers de ses propriétés confisquées en 1796.
Madame de Bachet défend néanmoins son bon droit, et la famille parvient à racheter par la suite une partie
de ses terres dont trois quarts du domaine de La Garde, tel qu'en témoigne l'acte de donation entre vifs
dressé le 13 juin 1813 en faveur de ses deux fils, Marie Joseph Frédéric et Jean Antoine Alexandre de
Bachet, dans lequel les biens sont de nouveau décrits.
Ce document précise que « Marie Joseph Frédéric Bachet aura en toute propriété pour son lot savoir :
« les trois quarts rachetés du domaine appelé La Garde, situés en la commune de Bourg, l'autre quart
appartenant en propre à ce dernier, ainsi que toutes les nouvelles constructions et augmentations qu'il a
faites dans les bâtiments du domaine »... On peut en déduire que Frédéric de Bachet avait déjà construit à
cette époque une maison de maître, sachant qu'il avait racheté un quart du domaine en l'an XI (1801-1802).
Nous comprenons mieux comment le domaine de La Garde est constitué quelques années plus tard.
D'une part, lorsqu'un acte de vente en date du 23 décembre 1816, est signé entre Monsieur Marie Joseph
Frédéric Bachet, et Mademoiselle Jeanne Josephte Claudine Sabine Mantellier :
« un domaine consistant en bâtiment de maître, bâtiments d'habitation et d'exploitation pour le cultivateur,
cours, jardins, vergers, terres labourables, prés, bois, blétonnées et taillis, et avec les appartenances et
dépendances dudit domaine se contient et comporte, compris un pré appelé de la Rivière, situé sur la
commune de Montagnat, et une terre appelée de l'Etang, située sur la commune de Bourg. »..etc.
Et d'autre part, le 12 avril 1825, au décès de Jeanne Josephte Claudine Sabine, par l'acte de succession en
faveur de son unique sœur et héritière, le domaine est transmis intégralement à Dame Marie Claudine
Justine Mantellier, veuve de M. Claude Marie François de Chossat de Montburon.
A partir de cette date, la famille Chossat de Montburon sera présente sur le domaine jusqu'en 1939.
Il nous semble opportun de rappeler brièvement les antécédents de cette famille Chossat de Montburon.
Originaires d'Etrez, petit village situé vers Montrevel en Bresse, la famille accède à la noblesse grâce à un
ancêtre, Jean Chossat qui achète en 1637 la charge anoblissante de Conseiller du Roi au bailliage de Bourg.
Les membres de cette famille nombreuse vont occuper différents postes importants dans l'administration
civile et militaire sous l'Ancien Régime.
Ils complètent leur patronyme Chossat avec le nom des lieudits où ils résident, de Montburon à
CONFRANÇON, du Sougey à CUET, de Montessuy à JAYAT, de Saint Sulpice, petit village de Bresse
près de SAINT DIDIER D'AUSSIAT ayant conservé ce nom.
Claude François Marie de Chossat de Montburon, a épousé le 28 octobre 1789 à Bourg en Bresse, Claudine
Justine Mantellier. Dans sa prime jeunesse, il a été sous-lieutenant au régiment d'Auvergne et a fait
campagne en Amérique en 1782 à l'âge de 22 ans. Il faisait partie de ces jeunes nobles français qui ont
apporté leur concours à Lafayette lors de la guerre d'indépendance des États-Unis.
Décédé en 1808, son épouse Claudine Mantellier est veuve lorsqu'elle devient propriétaire du domaine par
héritage de sa sœur Claudine en 1824.
Leur unique fils Édouard né en 1790 continue l'administration du domaine jusqu'à son décès en 1861.
En 1866, la veuve d' Édouard, Adélaïde Baudot, partage les biens du couple entre leurs trois enfants.
A son décès en 1873, après partage des valeurs mobilières, l'un des fils Adrien Gaëtan Chossat de
Montburon devient de ce fait, propriétaire du domaine de La Garde.
Les bâtiments existants, ferme et maison de maître bâtie par Frédéric Bachet sont probablement détruits à
l'initiative d'Adrien Gaëtan Chossat de Montburon, car la mutation au cadastre de 1875 signale les
bâtiments comme démolis.
Une autre ferme, une nouvelle maison de maître et ses dépendances, mieux adaptés aux besoins et au goût
de ses propriétaires sont reconstruits. La mutation au cadastre de 1882 en fait mention. Un parc à l'anglaise
bien dans le l'esprit du temps est aménagé conjointement. Le domaine tout autour conserve sa vocation
agricole d'origine.
Ce que l'on peut voir aujourd'hui à La Garde, bien qu'ayant subi encore quelques transformations au début
du XXe siècle, résulte en grande partie des aménagements de cette époque.
Le lieu reflète l'esprit romantique de ce temps, un bâtiment de qualité, d'une grande sobriété, bien orienté
pour profiter de la lumière à toute heure du jour, et mis en valeur dans le parc ordonné «à l'anglaise», planté
d'essences choisies d'origines lointaines.
La fontaine et son vaste bassin rectangulaire, fait d'un seul bloc de pierre taillée provient des carrières du
Revermont toutes proches. Il servait d'abreuvoir pour les chevaux, étant continuellement alimenté par une
source.
Dans le même esprit, les bâtiments annexes, témoignent d'une qualité, d'un art de vivre.
On ne connaît pas avec certitude la date de construction de ces vastes et belles écuries.
A l'examen du bâtiment on peut supposer qu'une partie des matériaux des anciennes constructions démolies
vers 1873 a été récupérée. Cependant, l'équilibre de ce bâtiment utilitaire pour partie en pierre de taille est
sans conteste l’œuvre d'un architecte de qualité. Les plans en ont été conservés mais ne sont ni datés ni
signés.
Un projet d'orangerie, non réalisé, dont les plans sont du même style et datés de 1866 sont également restés
dans la maison. Les dessins sont signés par l'architecte suisse Samuel Vaucher-Crémieux.
Cet architecte aurait-il été aussi celui du « château » ? L'hypothèse est vraisemblable, mais aucune certitude
ne peut être avancée en l'absence de documents.
Le domaine est resté propriété de la famille Chossat de Montburon jusqu'en 1939, puis racheté par M.
Henriot la même année avec 56 hectares de terrain.
L’œuvre de M. Henriot sera de transformer le domaine de La Garde en une entreprise agricole moderne
pour son temps, en ajoutant plusieurs bâtiments et annexes.
La Garde reste ensuite propriété de la famille Henriot jusqu'en 1983.
Entre 1983 et avril 2014, le domaine est propriété de M. et Mme Sagot.
A partir d'avril 2014, M. et Mme Friedrich et Margareta Von Kirchbach en font l'acquisition avec 14
hectares de terrain.
L'histoire du domaine de La Garde nous a fait traverser à grands pas plusieurs siècles en quelques lignes.
Pourtant, ces lieux emprunts de sérénité, de poésie, nous emportent loin de la ville et de ses tracas, et nous
invitent à la lenteur.
De toutes parts, à l'intérieur de la demeure, à l'extérieur, le regard se perd dans la nature, nous invitant à la
réflexion ou à la rêverie.
Une expérience à tenter pour tout visiteur venant de la ville :
Franchir doucement le portail de La Garde,
Marcher sans hâte
Regarder et sentir,
Laisser la magie opérer,
Un autre monde existe.... Dominique Baumont
Recherches de M. Paul Cattin
Archives privées du Domaine de La Garde
Recherches de M. Augustin
Archives départementales de l'Ain
M. Claude Guy ( liste à revoir et à compléter)
(préparés par Paul Cattin)
Période Bouvent et origine du nom “Domaine de La Garde”, avant 1540
Période Mantellier et Chaussat de Montburon, 1816 - 1939
La famille de Marie-Antoinette-Gabrielle Puvis, épouse d'Adrien Gaëtan Chaussat de Montburon qui construit le château de La Garde vers 1875
La cotisation annuelle s’établit à :
Couples: € 35
Individuels: € 25
Tarif réduit: € 10 (Jeunes, Etudiants, Demandeurs d’emploi…)
Dominique Baumont, Françoise Cartade, Mireille et Jean-Louis Dubois de Prisque, Lucie Gouilloux (vice-presidente), Robert Lequeux, Christine Lévy-Rostagnat, Any Lux, Dominique & Didier Patel (vice-président), Margareta von Kirchbach (trésorière), Friedrich von Kirchbach (président)
Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts une association régie par la loi du 1er juillet 1901 et le décret du 16 août 1901, ayant pour titre : Les Amis de La Garde
Article 2 - BUT OBJETL’Association poursuit les buts non-lucratifs suivants :
a) Maintenir et développer le patrimoine historique que représente le Domaine de La Garde, le mettre en valeur et l’ouvrir au public dans le cadre d’activités spécifiques.
b) Promouvoir des événements à caractère culturel et artistique, en particulier des concerts, des expositions et ventes d’art et d’artisanat, des conférences, des séminaires ou d’autres manifestations.
Le siège social est fixé au Domaine de La Garde, 27 Chemin des Narcisses, 01000 Bourg-en-Bresse, France.
Article 4 - DUREELa durée de l’association est illimitée.
Article 5 – MEMBRESPeut être membre de l’association toute personne physique ou morale qui en fait la demande et qui adhère aux présents statuts.
L’association se compose de :
Les demandes d’affiliation sont adressées au Bureau. Le Bureau décide des admissions. Les refus doivent être présentés à l’Assemblée générale et validés par elle.
Les membres versent une cotisation annuelle d’un montant décidé par L’Assemblée générale. Les membres d’honneur sont dispensés de la cotisation annuelle, mais disposent du droit de vote.
La qualité de membre se perd par la démission formulée par écrit, le non-paiement de la cotisation, le décès ou l’exclusion décidée par l’Assemblée générale.
Les organes de l’association sont :
L’Assemblée générale est l’organe suprême de l’Association. Elle est composée de tous les membres. L’Assemblée générale ordinaire est convoquée annuellement par le Bureau. Elle se réunit chaque année. Un mois au moins avant la date fixée, les membres de l'association sont convoqués par le Bureau par tout moyen qu’il jugera opportun.
L’Assemblée générale a pour compétences principales:
a) la discussion et l’approbation du rapport annuel du président et des comptes annuels du trésorier
b) la discussion des activités et du programme de l’Association
c) la fixation du montant des cotisations annuelles
d) l’élection du Bureau
e) la fixation et la modification des statuts
f) l’éventuel refus ou l’exclusion d’un membre
g) la dissolution de l’Association
Chaque membre possède une voix à l’Assemblée générale; les décisions sont prises à la majorité des membres présents ou représentés avec l’exception des modifications des statuts pour lesquelles une majorité de deux tiers des membres présents ou représentés est nécessaire.
Les membres qui ne peuvent pas être présents peuvent être représentés par un autre membre. Aucun membre ne peut représenter plus de trois membres non-présents.
Si besoin est, ou sur la demande de la moitié plus un des membres inscrits, le président doit convoquer une assemblée générale extraordinaire. Les modalités de convocation sont les mêmes que pour l’assemblée générale ordinaire. Les décisions sont prises à la majorité des membres présents.
Article 9 – BUREAULe Bureau est composé d’un minimum de trois membres, à savoir un/une président-e, un/une vice-président-e et un/une trésorier/ière. D’autres fonctions requises – comme par exemple celle d’un secrétaire – peuvent être créées par le Bureau. Le nombre de membres du Bureau est limité à un maximum de quinze.
Le Bureau a pour compétence de :
a) représenter l’Association
b) gérer les affaires courantes
c) prendre les mesures nécessaires pour atteindre les objectifs fixés
d) maintenir un site Web qui diffuse le programme de l’Association et assure la transparence de ses activités
e) veiller à l’application des statuts
Les employés salariés de l’association ne peuvent siéger au Bureau qu’avec une voix consultative.
Le Bureau prend ses décisions à la majorité. À égalité de voix, la voix du président compte double.
La durée du mandat des membres du Bureau est de 3 ans, renouvelable.
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a) cotisations des membres ;
b) dons, legs, subventions, contributions et prêts publics ou privés ;
c) recettes liées aux événements culturels;
d) ressources autorisées par les lois et règlements en vigueur.
L’Association est valablement engagée par la signature du président, ou collectivement par celles du vice-président et d’un autre membre du Bureau.
Article 12 – REGLEMENT INTERIEURUn règlement interieur peut être établi par le Bureau, qui sera approuvé par l’Assemblée générale. Ce règlement est destiné à fixer les divers points non prévus par les statuts.
Article 13 – OBLIGATIONS FINANCIERESLes obligations financières n’engagent que les actifs de l’Association. Toute responsabilité personnelle des membres est exclue.
Article 14 - DISSOLUTIONLa dissolution de l’Association peut être prononcée par l’Assemblée générale. En cas de dissolution de l’Association, ses actifs sont investis dans le respect des buts de l’association ou sont cédés à une institution poursuivant des buts analogues.
Article 15 – ENTREE EN VIGUEURCes statuts ont été adoptés lors de la première Assemblée générale du 7 Août 2015 et sont entrés en vigueur le jour même.
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été 2015: Ma(g)ville Bourg-en-Bresse: Le Château de La Garde à Bourg-en-Bresse
Adresse:
Les Amis de La Garde
Domaine de La Garde
Chemin de La Garde
F - 01000 Bourg-en-Bresse
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Comment trouver La Garde:
Aller au giratoire devant le Parc des Expositions Ainterexpo au sud de Bourg-en-Bresse sur l’Avenue Maréchal Juin (route D 1075 en direction de Sortie 7 de l’autoroute A40 vers Genève et Lyon), désactiver votre système de navigation, contourner Ainterexpo par les parkings, en suivant le fléchage Domaine de La Garde, suivre le chemin des narcisses jusqu’aux grilles du domaine et ses deux pavillons d'entrée.